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Théâtre

Arbres

2022/2023

ARBRES est la deuxième pièce du polyptyque Suite sur le Vivant, dont le premier volet ANIMAUX a été proposé la saison dernière au Foyer du TBB. Ce projet est issu de la passion de son auteur pour un sujet hautement symbolique et d’actualité, notre rapport au vivant et à la nature, qu’il soit emblématisé par les animaux ou les arbres. Et Julien Mages étant poète, c’est avec une écriture ciselée et expressionniste qu’il colore les dialogues de ses pièces. La poésie du monde est en marche...

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2021/2022

Inspiré de la biographie atypique de l’auteur, Adolescence, Courir la nuit aboie dresse le portrait d’un jeune de 17 ans à la dérive, en proie à la drogue et à la délinquance, enfermé en prison quand les jeunes de son âge apprennent l’amour, leurs leçons, et font la fête en liberté. À l’image d’une tempête en été, la pièce narre les découvertes faites dans cette période de transition entre l’enfance et les premières responsabilités. Un presque seul-en-scène accompagné musicalement de Pierre Audétat avec qui il compose un voyage poétique et sonore dans le vortex hallucinatoire d’un ado ivre qui flotte d’une cellule à une chambre, d’un isolement psychiatrique à une rue, d’un squat à la maison bourgeoise de son enfance.

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Animaux

2021/2022

Pour cette pièce, Julien Mages s’est nourri de la pen­sée sci­en­tifique et philosophique de la cause ani­male et envi­ron­nemen­tale, mais aussi de sa pas­sion pour les ani­maux. Il a souhaité demeurer le plus proche pos­si­ble du poème dans la con­struc­tion du pro­jet. La musi­cal­ité des mots et le style passent par­fois d’un lyrisme naïf aux dia­logues les plus con­crets, denses et sans con­ces­sion pour la dom­i­na­tion absolue d’une espèce sur toutes les autres. Il s’agit d’une pièce sans mes­sage ni morale, mais ouverte sur la descrip­tion du vivant et de son agonie.

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J'irai demain couvrir ton ombre

2019

Deux hommes. Le pre­mier est un est poète et pro­fesseur de philoso­phie de quarante-cinq ans. Le sec­ond est un comé­dien et cuisinier, mais aussi auteur de théâtre de trente-huit ans. Il y a aussi une femme de la trentaine, spec­ta­trice de théâtre, au sujet de qui l’on ne sait rien de plus. Les deux hommes l’aiment d’un amour dif­férent. Le plus âgé aime l’idée qu’on l’admire, il est dis­tant, attiré, mais pas réelle­ment amoureux. Inverse­ment, le plus jeune aime la femme d’un amour pas­sionné, irraisonné, déraisonnable et envahissant, il pour­rait mourir pour elle. Quant à cette dernière, elle con­sid­ère le jeune comme un futur ami et tombe amoureuse du pro­fesseur de philoso­phie.

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2017

Un couple se déchire, une lettre devant eux : le divorce. Durant une soirée, ils vont revivre leur amour, faire renaître les sentiments, les haines et les années à aimer, vivre, sentir ensemble, construire et déconstruire. Il s’agit d’écrire la fin de l’amour, impitoyable, terrifiante et inéluctable.

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2016

Sans Par­tir est un poème-monologue qui avance par « frag­ments d’intérieur » et cal­ligrammes sur les pages. Le son et la musique décrivent les dessins, réalisent un cal­ligramme musi­cal qui accom­pa­gne le poème, seul, immo­bile et mouvant. Un être marche, perdu dans la ville. Il décrit sim­ple­ment ce qu’il voit et ressent, au présent, Sans par­tir…

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2016

La mélopée du petit bar­bare est un  cri, celui d’un petit bar­bare, sobri­quet ironique, tout comme le chant plain­tif d’un jeune homme qui en vérité n’a pas à se plain­dre. Le jeune homme se révolte parce qu’il se juge coupable. De là naît une réflex­ion sur les orig­ines de ce sen­ti­ment  uni­versel et notam­ment véhiculé par notre cul­ture occi­den­tale, judéo-chrétienne: j’existe donc j’expie… C’est aussi un rêve, le rêve d’une ren­con­tre avec une femme dont la présence intrigue dans l’espace men­tal du petit bar­bare.

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2015

Deux per­son­nal­ités s’affrontent sur un ter­rain poli­tique et philosophique. L’une, la Mis­an­thrope, se con­fronte à un puis­sant homme d’affaires. Ce dernier s’est pris pour un intel­lectuel en écrivant un essai socio-philosophique et vient deman­der des comptes à la Mis­an­thrope qui a fustigé son texte dans un arti­cle véhé­ment. L’homme de pou­voir va ainsi se heurter à la réal­ité de la femme représen­tant un autre pou­voir, celui de la pen­sée Vraie. C’est dans cette joute entre le Vrai et le Faux que la pièce va se jouer, avec pour entourage des intri­g­ants qui ne sont pas sans rap­peler les per­son­nages du Mis­an­thrope classique.

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2014/2015

Trois sœurs se retrou­vent dans une pro­priété famil­iale pour veiller leur père. Deux frères s’y trou­vent égale­ment pour repren­dre la suite des affaires que dirigeait le père des filles… Le père des deux frères a rejoint celui des filles, il veille le père malade et s’occupe de recueil­lir ses dernières volon­tés afin de trans­met­tre le témoin à ses fils. Les filles, elles, atten­dent le partage de la for­tune per­son­nelle de leur père que l’autre père, celui des fils, leur transmettra…

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2013

Nar­cisse 21ème siè­cle, un poème com­posé de chants en vers libres, par Julien Mages, sur Julien Mages, dans une auto-référentialité qui fait de lui, de manière parox­ys­tique, un homme de son époque. D’inspiration néo-romantique mais totale­ment décalés, truf­fés d’un sec­ond degré qui souf­fle le chaud et le froid, dans une langue où la sen­sa­tion musi­cale tend à l’emporter sur l’intelligibilité, les poèmes de ce conte mod­erne oscil­lent entre réal­ité crue et onirisme égo­cen­trique  volon­taire­ment narcissique.

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2012

Les trois unités de temps, de lieu et d’action per­me­t­tront une plongée dans le moment cru­cial de la déci­sion. Cinq jeunes gens cherchent « quelque chose à faire »… Un début exposera leur envie de s’engager, de changer quelque chose, d’être une fois dif­férents. Puis peu à peu quelque chose de som­bre appa­raî­tra dans ce qui devait être « une soirée entre amis » : un dégoût, une incom­préhen­sion, une révolte, une rage, puis peu à peu une déci­sion irrévo­ca­ble, irré­para­ble, insi­dieuse, et prenant de plus en plus de force dans ce groupe sans his­toire… Ils décideront de tuer. C’est donc entre le moment de l’idée et de la déci­sion de com­met­tre un mas­sacre que se situera l’action de la pièce.

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2011

Julien Mages aime placer son travail sous le haut patronage de Jacques Copeau, qui déclarait : « Un plateau nu, des acteurs et un poème… » C’est fort de cet étendard qu’il aborde sa nouvelle création, encore une fois entouré des compagnons du Collectif Division. Et contrairement à ce que le titre pourrait suggérer, «Un homme, seul» n’est pas un monologue. Sans rien renier des thèmes qui le travaillent (la folie, la mort, la violence, l’injustice), Julien Mages souhaite aborder un registre plus léger, dans son écriture notamment. Après «Les perdus», qui abordait avec force la question de la marginalité, «Un homme, seul», prend des allures de projet biographique. On découvre donc l’histoire d’une personne, telle qu’elle se déroule dans le réel, mais aussi sur le plan imaginaire, avec évidemment tout un jeu de résonances et d’échos entre ces deux mondes.

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2009

Une bande de miséreux tente d’exister dans l’effroi de la pauvreté et de l’exclusion. Chacun cherche son salut au travers de l’autre ou de soi, ainsi, dans la marge une petite société cohabite et cherche un chemin perdu dans le chaos...
Cependant l’un d’entre eux a peut-être trouvé le moyen de «s’en sortir». Tous l’attendent comme pour suivre une route la nuit.
A l’heure des grandes crises économiques et d’un nouveau millénaire ultra-technologique, cette fable pose la question de l’exclusion toujours plus menaçante et irréversible de l’Homme face à sa communauté, sondant le phénomène de la chute sociale et faisant s’affronter encore l’espoir et la souffrance, la folie et la raison, cette histoire essaye pourtant de suivre une lumière joyeuse en passant par les bas-fonds où vivent quelques perdus...

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2008

À l’abri du monde, une maîtresse et sa servante tentent d’orchestrer leur quotidien. Au rythme des médicaments à avaler, entre les chaussures à ranger et les rêves à sauver, une jeune fille s’immisce dans leur vie et soulève les fantômes et fantasmes du passé.

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2009

« Une mère et ses enfants décident de se réunir autour d’un repas afin de parler, d’échanger, de communiquer peut-être… C’est une réunion à huis clos, un huis clos familial. Le père vient de mourir, il faut donc se réunir et célébrer la mémoire du défunt, pleurer le père en famille, s’unir devant la mort. Le père vient de se suicider. Tout commence donc après l’annonce de cette mort volontaire. Le fils cadet et sa mère sont devant la porte du père. Ils viennent de le trouver. Plus tard ils voudront se réunir autour d’un repas.
Et tout se poursuit par l’implosion des liens familiaux et des individus… »

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2006

Dans la pesanteur d’un hôpital psychiatrique, de jeunes perdus partagent leur quotidien, leurs rêves et leurs souffrances. Ils cherchent un chemin hors de cet espace carcéral s’inventant chacun un monde qui ne parvient plus jusqu’à eux. Certains cherchent l’amour comme remède à leur enfermement, d’autres se perdent dans leurs souvenirs douloureux ou leur passion destructive. Tous expriment leur mal d’exister. Personnages exaltés et imprévisibles, ces êtres se dévoilent peu à peu, résignés à s’enfuir, là où n’existent ni murs, ni division.

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Nous par le ciel si bas

2023/2024

Dans NOUS PAR LE CIEL SI BAS, Julien Mages met en présence deux femmes dont le destin semble scellé par la domination. L’une des deux sœurs rend visite à l’autre et ne peut que constater les séquelles physiques et psychologiques que la solitude a installée chez elle. De cet enfermement solitaire naîtra l’orage qui les menaçait plus haut, confirmant les rôles de dominée-dominante qu’elles jouaient depuis toujours. Dans ce texte les phrases avortent, les non-dits sont au cœur du jeu de l'ironie et de l'amour...

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2021/2022

Inspiré de la biographie atypique de l’auteur, Adolescence, Courir la nuit aboie dresse le portrait d’un jeune de 17 ans à la dérive, en proie à la drogue et à la délinquance, enfermé en prison quand les jeunes de son âge apprennent l’amour, leurs leçons, et font la fête en liberté. À l’image d’une tempête en été, la pièce narre les découvertes faites dans cette période de transition entre l’enfance et les premières responsabilités. Un presque seul-en-scène accompagné musicalement de Pierre Audétat avec qui il compose un voyage poétique et sonore dans le vortex hallucinatoire d’un ado ivre qui flotte d’une cellule à une chambre, d’un isolement psychiatrique à une rue, d’un squat à la maison bourgeoise de son enfance.

Tamarine Schreiber_JM_Adolescence2021_Full Res.jpg

Animaux

2021/2022

Pour cette pièce, Julien Mages s’est nourri de la pen­sée sci­en­tifique et philosophique de la cause ani­male et envi­ron­nemen­tale, mais aussi de sa pas­sion pour les ani­maux. Il a souhaité demeurer le plus proche pos­si­ble du poème dans la con­struc­tion du pro­jet. La musi­cal­ité des mots et le style passent par­fois d’un lyrisme naïf aux dia­logues les plus con­crets, denses et sans con­ces­sion pour la dom­i­na­tion absolue d’une espèce sur toutes les autres. Il s’agit d’une pièce sans mes­sage ni morale, mais ouverte sur la descrip­tion du vivant et de son agonie.

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J'irai demain couvrir ton ombre

2019

Deux hommes. Le pre­mier est un est poète et pro­fesseur de philoso­phie de quarante-cinq ans. Le sec­ond est un comé­dien et cuisinier, mais aussi auteur de théâtre de trente-huit ans. Il y a aussi une femme de la trentaine, spec­ta­trice de théâtre, au sujet de qui l’on ne sait rien de plus. Les deux hommes l’aiment d’un amour dif­férent. Le plus âgé aime l’idée qu’on l’admire, il est dis­tant, attiré, mais pas réelle­ment amoureux. Inverse­ment, le plus jeune aime la femme d’un amour pas­sionné, irraisonné, déraisonnable et envahissant, il pour­rait mourir pour elle. Quant à cette dernière, elle con­sid­ère le jeune comme un futur ami et tombe amoureuse du pro­fesseur de philoso­phie.

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2017

Un couple se déchire, une lettre devant eux : le divorce. Durant une soirée, ils vont revivre leur amour, faire renaître les sentiments, les haines et les années à aimer, vivre, sentir ensemble, construire et déconstruire. Il s’agit d’écrire la fin de l’amour, impitoyable, terrifiante et inéluctable.

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2016

Sans Par­tir est un poème-monologue qui avance par « frag­ments d’intérieur » et cal­ligrammes sur les pages. Le son et la musique décrivent les dessins, réalisent un cal­ligramme musi­cal qui accom­pa­gne le poème, seul, immo­bile et mouvant. Un être marche, perdu dans la ville. Il décrit sim­ple­ment ce qu’il voit et ressent, au présent, Sans par­tir…

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2016

La mélopée du petit bar­bare est un  cri, celui d’un petit bar­bare, sobri­quet ironique, tout comme le chant plain­tif d’un jeune homme qui en vérité n’a pas à se plain­dre. Le jeune homme se révolte parce qu’il se juge coupable. De là naît une réflex­ion sur les orig­ines de ce sen­ti­ment  uni­versel et notam­ment véhiculé par notre cul­ture occi­den­tale, judéo-chrétienne: j’existe donc j’expie… C’est aussi un rêve, le rêve d’une ren­con­tre avec une femme dont la présence intrigue dans l’espace men­tal du petit bar­bare.

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2015

Deux per­son­nal­ités s’affrontent sur un ter­rain poli­tique et philosophique. L’une, la Mis­an­thrope, se con­fronte à un puis­sant homme d’affaires. Ce dernier s’est pris pour un intel­lectuel en écrivant un essai socio-philosophique et vient deman­der des comptes à la Mis­an­thrope qui a fustigé son texte dans un arti­cle véhé­ment. L’homme de pou­voir va ainsi se heurter à la réal­ité de la femme représen­tant un autre pou­voir, celui de la pen­sée Vraie. C’est dans cette joute entre le Vrai et le Faux que la pièce va se jouer, avec pour entourage des intri­g­ants qui ne sont pas sans rap­peler les per­son­nages du Mis­an­thrope classique.

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2014/2015

Trois sœurs se retrou­vent dans une pro­priété famil­iale pour veiller leur père. Deux frères s’y trou­vent égale­ment pour repren­dre la suite des affaires que dirigeait le père des filles… Le père des deux frères a rejoint celui des filles, il veille le père malade et s’occupe de recueil­lir ses dernières volon­tés afin de trans­met­tre le témoin à ses fils. Les filles, elles, atten­dent le partage de la for­tune per­son­nelle de leur père que l’autre père, celui des fils, leur transmettra…

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2013

Nar­cisse 21ème siè­cle, un poème com­posé de chants en vers libres, par Julien Mages, sur Julien Mages, dans une auto-référentialité qui fait de lui, de manière parox­ys­tique, un homme de son époque. D’inspiration néo-romantique mais totale­ment décalés, truf­fés d’un sec­ond degré qui souf­fle le chaud et le froid, dans une langue où la sen­sa­tion musi­cale tend à l’emporter sur l’intelligibilité, les poèmes de ce conte mod­erne oscil­lent entre réal­ité crue et onirisme égo­cen­trique  volon­taire­ment narcissique.

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2012

Les trois unités de temps, de lieu et d’action per­me­t­tront une plongée dans le moment cru­cial de la déci­sion. Cinq jeunes gens cherchent « quelque chose à faire »… Un début exposera leur envie de s’engager, de changer quelque chose, d’être une fois dif­férents. Puis peu à peu quelque chose de som­bre appa­raî­tra dans ce qui devait être « une soirée entre amis » : un dégoût, une incom­préhen­sion, une révolte, une rage, puis peu à peu une déci­sion irrévo­ca­ble, irré­para­ble, insi­dieuse, et prenant de plus en plus de force dans ce groupe sans his­toire… Ils décideront de tuer. C’est donc entre le moment de l’idée et de la déci­sion de com­met­tre un mas­sacre que se situera l’action de la pièce.

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2011

Julien Mages aime placer son travail sous le haut patronage de Jacques Copeau, qui déclarait : « Un plateau nu, des acteurs et un poème… » C’est fort de cet étendard qu’il aborde sa nouvelle création, encore une fois entouré des compagnons du Collectif Division. Et contrairement à ce que le titre pourrait suggérer, «Un homme, seul» n’est pas un monologue. Sans rien renier des thèmes qui le travaillent (la folie, la mort, la violence, l’injustice), Julien Mages souhaite aborder un registre plus léger, dans son écriture notamment. Après «Les perdus», qui abordait avec force la question de la marginalité, «Un homme, seul», prend des allures de projet biographique. On découvre donc l’histoire d’une personne, telle qu’elle se déroule dans le réel, mais aussi sur le plan imaginaire, avec évidemment tout un jeu de résonances et d’échos entre ces deux mondes.

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Une bande de miséreux tente d’exister dans l’effroi de la pauvreté et de l’exclusion. Chacun cherche son salut au travers de l’autre ou de soi, ainsi, dans la marge une petite société cohabite et cherche un chemin perdu dans le chaos...
Cependant l’un d’entre eux a peut-être trouvé le moyen de «s’en sortir». Tous l’attendent comme pour suivre une route la nuit.
A l’heure des grandes crises économiques et d’un nouveau millénaire ultra-technologique, cette fable pose la question de l’exclusion toujours plus menaçante et irréversible de l’Homme face à sa communauté, sondant le phénomène de la chute sociale et faisant s’affronter encore l’espoir et la souffrance, la folie et la raison, cette histoire essaye pourtant de suivre une lumière joyeuse en passant par les bas-fonds où vivent quelques perdus...

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2008

À l’abri du monde, une maîtresse et sa servante tentent d’orchestrer leur quotidien. Au rythme des médicaments à avaler, entre les chaussures à ranger et les rêves à sauver, une jeune fille s’immisce dans leur vie et soulève les fantômes et fantasmes du passé.

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« Une mère et ses enfants décident de se réunir autour d’un repas afin de parler, d’échanger, de communiquer peut-être… C’est une réunion à huis clos, un huis clos familial. Le père vient de mourir, il faut donc se réunir et célébrer la mémoire du défunt, pleurer le père en famille, s’unir devant la mort. Le père vient de se suicider. Tout commence donc après l’annonce de cette mort volontaire. Le fils cadet et sa mère sont devant la porte du père. Ils viennent de le trouver. Plus tard ils voudront se réunir autour d’un repas.
Et tout se poursuit par l’implosion des liens familiaux et des individus… »

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2006

Dans la pesanteur d’un hôpital psychiatrique, de jeunes perdus partagent leur quotidien, leurs rêves et leurs souffrances. Ils cherchent un chemin hors de cet espace carcéral s’inventant chacun un monde qui ne parvient plus jusqu’à eux. Certains cherchent l’amour comme remède à leur enfermement, d’autres se perdent dans leurs souvenirs douloureux ou leur passion destructive. Tous expriment leur mal d’exister. Personnages exaltés et imprévisibles, ces êtres se dévoilent peu à peu, résignés à s’enfuir, là où n’existent ni murs, ni division.

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